Sony, Codemasters, Epic games, Sega, la Fox ou même l’Apple Store, on ne compte plus les sites internet piratés.
Le Sony Playstation Network compte plus de soixante dix millions de joueurs. Apple dépense 1.4 milliards de dollars pour gérer l’Apple Store. Facebook regroupe 600 millions d’inscrits avec toutes les semaines des alertes au phising.
Il ne s’agit pas de petits sites développés par des amateurs. Ce sont des sites professionnels, mis en place par des grandes entreprises, avec des dizaines de millions de comptes utilisateur. Et les piratages ont permis le vol de milliers de données bancaires et personnelles.
On le sait, l’informatique est d’abord une affaire humaine avec des centaines de milliers de lignes de codes écrites à la main. Et ces lignes de code comportent toujours des erreurs propices aux attaques pirates.
Alors, et sans pour autant vouloir jouer les mauvais augures, peut-on vraiment croire aux promesses de sécurité des apôtres du tout-dans-les-nuages ?